Grand favori du Mondial 2018, le Brésil se méfie de la Belgique, son adversaire en quarts de finale ce vendredi (20h). Eden Hazard, Kevin De Bruyne, Romelu Lukaku… Les Belges possèdent les armes pour rivaliser avec la Seleçao.
Mais l’homme qui inquiète vraiment la presse auriverde, c’est Thierry Henry ! En effet, l’adjoint du sélectionneur Roberto Martinez rappelle forcément de mauvais souvenirs au Brésil, éliminé en quarts de la Coupe du monde 2006 après un but de l’ancien international tricolore (1-0). Une sorte de bête noire puisque le Français n’a jamais perdu contre les Brésiliens en trois confrontations, en comptant la finale du Mondial 1998 (3-0) et un match amical au Stade de France en 2004 (0-0).
Résultat, Globo Esporte voit Thierry Henry comme « une source d’inspiration pour les Belges, un cauchemar pour les Brésiliens ». « Il exerce une fonction discrète, mais fondamentale pour l’évolution technique et mentale d’une sélection qui est sous pression et cherche à décrocher son premier titre mondial », encense le média local, qui va jusqu’à parler d’un « traumatisme Thierry Henry ». Autant dire qu’un succès belge ferait du Français le bourreau officiel du Brésil.