A l’image des huitièmes de finale, tous les matchs de cette Coupe du monde 2018 n’offrent pas le même spectacle.
Certains vous feraient presque regretter le coup de sifflet final, alors que d’autres rencontres vous emmènent au bout de l’ennui pendant plus de deux heures… La faute, selon Pierre Ménès, à ces sélections défensives. « Ces rencontres ennuyeuses à souhait confirment qu’il y a une vraie prime à la défense et au bloc bas dans cette Coupe du monde », a remarqué le chroniqueur de CNEWS, toujours aussi fan du Brésil et de son jeu vers l’avant. Autant dire que le consultant ne manquera pas le choc entre la Seleçao et la Belgique vendredi (20h).
En revanche, Ménès est loin d’être aussi enthousiaste en évoquant les affiches de l’autre partie de tableau. « Les deux quarts de finale entre la France et l’Uruguay puis le Brésil et la Belgique ont une tout autre allure que les deux pansements (Russie-Croatie, Suède-Angleterre) en perspective du lendemain. Et il faut espérer pour le football que le futur champion du monde se trouve parmi ces quatre nations », a conclu le spécialiste, conscient que ce Mondial réserve sûrement d’autres surprises.