Habitués aux incidents internes, les Pays-Bas ne se privent pas d'une nouvelle affaire au sein de leur effectif avec l'attitude de Robin Van Persie qui n'est pas appréciée de tout le monde. Toutefois, le refrain est toujours le même, le groupe survit dans la victoire.
La campagne de communication de la sélection néerlandaise tendant à nier les problèmes d’ego au sein de l’effectif ressemble fortement à celle de l’équipe de France. L’affaire qui enfle en ce moment aux Pays-Bas concerne Wesley Sneijder et Robin van Persie. Sorti furieux à la 80e minute du huitième de finale contre la Slovaquie, le buteur d’Arsenal aurait dit à Bert van Marwijk qu’il aurait plutôt du remplacer le joueur de l’Inter, selon les journalistes de la chaîne NOS qui ont « lu sur ses lèvres ». Les démentis sont apparus immédiatement.
« Robin m'a assuré qu'il n'avait pas prononcé ces mots et je n'ai aucune raison d'en douter. Je le crois sur parole. Je n'ai pas de problème avec lui. Et je n'en ai jamais eu. Il était déçu de sortir, cela peut se comprendre et ce n'est vraiment pas grave. […] Nous serons plus unis que jamais face au Brésil », a expliqué Wesley Sneijder. Avec autant de melons, chose logique pour les "Orange", van Marwijk réussira-t-il là où Domenech a échoué : tenir le cap le plus longtemps possible ?
