Face à des Grenoblois entreprenants, les Sochaliens ont assuré l’essentiel (1-0) non sans d’énormes frayeurs pour récolter trois points bienvenus.
Dans ce match entre deux formations qui seront probablement concernés par la lutte pour le maintien encore un petit bout de temps, la victoire ne pouvait que valoir cher. Dans la difficulté, elle est revenue à la formation franc-comtoise, qui a du résister au pressing de fin de rencontre des Grenoblois, comptant même sur Teddy Richert pour repousser le pénalty de Ljuboja. Francis Gillot pouvait souffler très fort au coup de sifflet final.
« C'était important de gagner face à un adversaire comme Grenoble qui restait sur une bonne série. Mais comme d'habitude, on a eu une première mi-temps difficile, notamment les trente minutes initiales. On s'est bien repris juste avant la pause. C'est vrai que Grenoble aurait pu marquer en première période et que Richert nous sauve la mise en arrêtant le penalty de Ljuboja. En seconde période, on a eu quelques opportunités sur coups de pied arrêtés mais on n'a pas réussi à se mettre à l'abri. Ce n'était pas Bonal mais... Verdun. Pendant le dernier quart d'heure on était sur le reculoir et comme on n'a pas beaucoup de grands gabarits, on était en difficulté. Avec 22 points, on peut souffler, même s'il reste deux matches avant la trêve », a noté l’entraineur sochalien, dont l’équipe possède désormais, avec 10 points, un matelas d’avance confortable sur le premier relégable.