Textor supplie le PSG de lui avancer de l'argent sur Barcola

Textor supplie le PSG de lui avancer de l'argent sur Barcola

Icon Sport

John Textor a décidé de s'en prendre brutalement à Nasser Al-Khelaifi dans l'affaire des droits TV de la Ligue 1. Du côté du PSG, on trouve que le propriétaire de l'OL ne manque pas de culot.

L'an dernier, le Paris Saint-Germain s'est offert les services de Bradley Barcola moyennant un prix officiel de 45 millions d'euros, plus des bonus à hauteur de 5 millions d'euros. Tout cela a donné lieu à un accord signé par l'Olympique Lyonnais et le PSG, lequel prévoyait comment souvent un paiement étalé dans le temps. Cependant, au moment où John Textor veut en découdre avec Nasser Al-Khelaifi, il était évident que ce dernier n'allait pas se laisser faire. Alors, suite au message du propriétaire américain après l'attribution des droits TV de la Ligue 1 à Beinsports et DAZN dans lequel John Textor lançait : « Félicitations à BeIN Sports ! Le réseau PSG a une fois de plus obtenu le droit de lancer des promotions du PSG sur les matchs de l’OL », la réponse n'a pas traîné.

L'OL a tenté de négocier avec le PSG pour avancer des paiements

Sur X (anciennement Twitter), Loïc Tanzi, journaliste de L'Equipe, a confié que du côté du Paris Saint-Germain on s'est étonné que John Textor s'en prenne ainsi au club de la capitale alors qu'il venait de discrètement demander une grosse faveur à Nasser Al-Khelaifi. « C’est le même président qui a demandé au PSG il y a 10 jours une avance sur les paiements du transfert de Barcola pour avoir du cash pour son mercato ? », a lancé notre confrère, prenant le risque de s'attirer les foudres de la communauté des supporters de l'Olympique Lyonnais, qui ont désormais pris fait et cause pour l'homme d'affaires américain. Du côté des fans du PSG, on pense avoir désormais une explication à la colère de John Textor contre Nasser Al-Khelaifi. « Au moins, on sait qu'il n’a pas eu l’avance », a ironisé CulturePSG. Au moins, le football français s'est trouvé une nouvelle rivalité après le départ de Jean-Michel Aulas.