Rentré à temps en France pour ne pas être inquiété par d’éventuelles règles sanitaires renforcées pour ceux qui arrivent du Brésil, Neymar n’est pas resté une seconde à Paris.
Sitôt son vol arrivé sur le sol français, il a pris la direction de Saint-Tropez pour passer quelques bons jours de détente avec une partie de l’effectif du PSG. Le numéro 10 parisien a ainsi rejoint Marco Verratti et sa compagne, mais aussi l’ancien du PSG Ezequiel Lavezzi et a croisé ses coéquipiers Marquinhos, Paredes et Di Maria, installés non loin de là. Une preuve en tout cas que les joueurs s’apprécient en dehors du terrain, et aiment passer du bon temps ensemble. Bien évidemment, les « performances » de Neymar à Saint-Tropez ont été suivies de près par les paparazzis. Il ne fallait pas que tous les efforts physiques effectués pendant le confinement, qui a permis au Brésilien de perdre 3 kilos et d’arriver en France affûté comme cela n’avait pas été le cas depuis longtemps, soient anéantis.
Si l’ancien barcelonais n’a pas forcément maintenu une pratique aussi intensive du sport et des exercices de musculation, il n’a pas non plus fait d’excès dans l’autre sens. Très peu de sortie, et surtout du repos, tel était son programme. Et s’il y a une chose qui s’est quelque peu allégée, c’est plutôt son compte en banque, même si on ne se fait pas trop de soucis pour lui à ce niveau. La vie n’est pas donnée à Saint-Tropez, et notamment sur sa plage de Pampelonne que Neymar, Verratti et compagnie fréquentent. Se reposer sur un matelas coûte ainsi 60 euros par personne, et pour se restaurer, l’apéritif de gambas monte à 45 euros, avec une palme pour le dessert à partager qui vous soulage de 150 euros tout de même. Pas de quoi empêcher le petit groupe du PSG de passer une bonne soirée toutefois très peu arrosée, les cocktails consommés étant plutôt soft et quasiment sans alcool, révèle L'Equipe ce samedi. Une preuve que Neymar a envie de garder la forme en vue de la reprise prévue ce lundi, même si les prochains matchs de compétition peuvent paraître encore lointains.