Le Paris Saint-Germain a réalisé un superbe coup en récupérant le prodige géorgien Khvicha Kvaratskhelia au mercato. Cependant, le club parisien n'en a pas fini avec Naples et veut son autre pépite offensive : Victor Osimhen.
Après plusieurs mois d'efforts, le Paris Saint-Germain a réalisé un exploit qu'il pensait impossible : faire plier Aurelio de Laurentiis. Dur en affaires, le président de Naples ne lâche pas facilement ses meilleurs éléments au mercato. Le producteur de cinéma aura verrouillé Kvaratskhelia pendant tout l'été avant de se résoudre à le céder cet hiver. Le Géorgien voulait absolument jouer pour Paris et le chèque de 70 millions d'euros offert par le PSG l'a finalement comblé. Une issue positive pour les Parisiens qui les incitent à retenter leur chance pour une autre cible napolitaine : Victor Osimhen.
Osimhen-Kvaratskhelia au PSG pour l'été 2025 ?
Prêté à Galatasaray cette saison, le Nigérian est un chouchou de Luis Campos après leur collaboration à Lille. Ce solide buteur ferait du bien au PSG alors qu'aucun joueur ne s'est réellement imposé à la pointe de l'attaque parisienne. Selon le média anglais TeamTalk, le cas de Victor Osimhen a fait l'objet de discussions entre Naples et le Paris SG pendant qu'ils négociaient déjà pour Kvaratskhelia. Toutefois, l'opération si elle se concrétise aura lieu cet été et pas en janvier.
Victor Wembanyama and Khvicha Kvaratskhelia in Paris to catch PSG vs. Man City 🔥 pic.twitter.com/wBIAbIrdMl
— ESPN FC (@ESPNFC) January 22, 2025
En effet, Osimhen ne souhaite pas quitter Galatasaray, où il est prêté par Naples, avant la fin de la saison. Il se sent bien en Turquie et nourrit de grandes ambitions. Leader du championnat turc, la formation stambouliote fait aussi une bonne campagne de Ligue Europa. De quoi garnir le palmarès de l'ancien lillois avant peut-être de retrouver son compère géorgien au PSG. Le club parisien ne peut pas attendre trop longtemps pour finaliser ce transfert. En effet, il subit la concurrence de Manchester United dans ce dossier. Les Parisiens devront donc donner les 75 millions d'euros de la clause libératoire pour faire plier Naples ainsi que leurs concurrents européens.
