A deux semaines du choc face au Real Madrid, l’inquiétude est grande au PSG, piteusement éliminé de la Coupe de France par Nice lundi soir.
Les matchs se suivent et se ressemblent pour le Paris Saint-Germain de Mauricio Pochettino. Malgré un effectif galactique, le PSG ne montre aucun signe de progression et cela fait des mois que ça dure. L’entraîneur argentin n’y résistera pas l’été prochain, et n’a de toute façon aucunement envie de poursuivre sa mission au PSG au-delà de la saison en cours. En attendant, il y a quand même un objectif à aller chercher avec une qualification pour les quarts de finale de la Ligue des Champions. Mais en l’état, l’exploit est-il possible pour le Paris Saint-Germain ? Le journaliste Pascal Praud a de gros doutes. Sur l’antenne de RTL, le chroniqueur a craché son venin sur le club de la capitale ainsi que sur ses stars Lionel Messi et Neymar et cela pique.
Pascal Praud atomise Neymar et Lionel Messi
NOTRE PATIENCE A SES LIMITES...#RASLEBOL
— Collectif Ultras Paris (@Co_Ultras_Paris) February 1, 2022
« C'est incompréhensible. Il n'y a pas de jeu, pas de flamme, pas de tir, pas de spectacle. C'est minable, minable. Messi ne met pas un pied devant l'autre, Neymar est blessé une fois sur deux. Si tu es dans le traumatisme d'avoir quitté Barcelone à 70 millions d'euros par an, je vais vous en montrer des traumatisés » a pesté Pascal Praud, révolté contre l’attitude des stars du Paris Saint-Germain, avant de conclure. « Est-ce que les joueurs n'en ont rien à faire du PSG ? Est-ce qu'ils viennent ici pour prendre de l'argent ? Est-ce qu'ils sont démotivés ? Est-ce qu'il y a un problème d'entraîneur ? Ce que je vois sur le terrain est incompréhensible. Il n'y a pas d'aventure commune, pas d'intelligence sportive, pas de construction à long terme » a pesté le journaliste, dont la brutale analyse sera certainement partagée par une partie des supporters, lesquels sont de moins en moins indulgents avec leurs joueurs comme le prouve le tweet du Collectif Ultra Paris qui a prévenu sur Twitter que (leur) patience avait « ses limites »…