Le PSG dit toute la vérité sur ce dossier à 100 millions d'euros

Le PSG dit toute la vérité sur ce dossier à 100 millions d'euros

Icon Sport

Le nom de Victor Osimhen a régulièrement circulé du côté du Paris Saint-Germain cet été. Le directeur sportif du PSG, Luis Campos, a lâché ses quatre vérités sur le dossier menant au buteur nigérian.

Longtemps pendant le dernier mercato estival, Victor Osimhen est apparu comme l’option idéale en attaque pour le Paris Saint-Germain, surtout après l’annonce du départ de Kylian Mbappé. Finalement, ce dernier n’a jamais été remplacé, puisqu’aucun attaquant n’a signé pour le PSG cet été. Deux semaines après la fin du mercato en France, Luis Campos, directeur sportif du champion de France en titre, est revenu sur l’intérêt que portait le PSG à l’égard de l’avant-centre nigérian cet été au cours d’une interview accordée à Ben Jacobs. Le Portugais estime qu’il n’y avait pas besoin de recruter d’attaquant supplémentaire puisque des joueurs étaient déjà présents dans l’effectif et selon lui, il n’y avait pas besoin de les mettre en concurrence avec une recrue.

Le PSG n'a pas besoin d'Osimhen

L’ancien dirigeant du LOSC est revenu sur la relation qu’il entretient avec le joueur de 25 ans : «Une offre pour Osimhen ? Non. Il a été analysé et étudié comme une possibilité pour le Paris Saint-Germain. Notre conclusion a été que nous étions heureux avec Gonçalo Ramos, Randal Kolo Muani et Marco Asensio. C’est naturel qu’on m’associe avec Osimhen parce que c’est moi qui l’ai fait signer à Lille en provenance de Charleroi, je le connais depuis qu’il a 16 ans. Nous avons une bonne relation. Nous nous respectons énormément», a-t-il affirmé. Cet été, la concurrence était rude pour signer Victor Osimhen, qui était dans le viseur de Chelsea et Al-Hilal, mais c’est finalement Galatasaray qui a engagé le Nigérian à la surprise générale en prêt de Naples. Certainement une grosse déception pour le club italien, qui espérait vendre le Super Eagle à prix fou aux alentours des 100 millions d'euros, malgré une clause libératoire à 130 millions d'euros.