Hoarau ‍: «Imposer notre jeu»

Hoarau : «Imposer notre jeu»

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L’attaquant parisien, qui a inscrit un doublé mercredi en Coupe UEFA, estime que le PSG a franchi un cap ces dernières semaines.

Impeccable à domicile, convaincant à l’extérieur, le PSG réalise en ce moment un parcours impeccable. Un rendement à l’opposé des résultats du début de saison, moment choisi par Grenoble pour profiter des restes du syndrome du Parc pour s’imposer à Paris. Pour Guillaume Hoarau, de l’eau a coulé sous les ponts depuis cette défaite. « Pour Grenoble, qui a gagné le match aller, la motivation va être très forte car ils aimeraient nous battre une seconde fois. Le temps s’est cependant écoulé entre les deux rendez-vous et nous sommes plus costauds et intelligents maintenant. Nous commençons à avoir les réponses afin de s’adapter à toutes les situations. Nous y allons sereins mais avertis. Nous serons attendus de pieds fermes mais nous le savons. Grenoble est une équipe difficile à jouer. Je sais de quoi je parle, car j’ai eu l’occasion de les affronter de nombreuses reprises lors des dernières saisons. Samedi, le stade sera plein et je pense qu’il y aura une grosse fête dans les tribunes. Nous allons nous appuyer sur nos forces et jouer comme nous savons le faire. Nous aviserons ensuite en fonction de ce que propose Grenoble. Nous avons des atouts à faire valoir et nous devrons imposer notre jeu, comme nous le réalisons au Parc », a demandé sur le site officiel du PSG l’ancien attaquant du HAC, bien conscient du fait que le PSG saura certainement dans le courant du mois de mars, avec des rencontres face à Grenoble, Nancy et Lorient, s’il a toujours la possibilité de lorgner sur le titre.


« Ces trois rencontres vont être très compliqués à gérer car les trois formations sont difficiles à jouer. A l’issue de ces trois rendez-vous nous verrons ou nous allons et si nous confirmons ce que nous réalisons actuellement. Nous ne voulons pas changer et continuer de bosser dans la bonne humeur, que les résultats soient bons ou mauvais. Nous n’allons pas changer d’état d’esprit à trois ou quatre moi de la fin du championnat. A la fin, nous n’aurions uniquement ce que nous méritons », a assuré Hoarau, bien parti pour reformer avec Ludovic Giuly le tandem qui inquiète tant ses adversaires, et en particulier Grenoble pour ce week-end.