A l'entame d'une trêve internationale qui fera le plus grand bien, l'Olympique Lyonnais doit désormais se focalise sur le prochain match de Ligue 1. Ce sera contre Clermont, une rencontre que l'OL doit IMPERATIVEMENT gagner.
Trois points en huit matchs, les pires statistiques de l'histoire du club rhodanien, il y a dorénavant une forme de sidération du côté de Lyon où les matchs s'enchaînent sans que le club réussisse à simplement gagner. Contre Lorient, Alexandre Lacazette et ses coéquipiers pensaient avoir fait le break en rentrant à la pause avec deux buts d'avance (3-1). Mais la seconde période a tourné à la tragédie avec des boulettes qui ont permis aux Bretons de repartir avec le point du nul et à l'OL de sortir sous les sifflets du Groupama Stadium. Dans moins de deux semaines, Lyon jouera un match presque décisif dans la course au maintien avec la réception de Clermont. Sidney Govou conseiller à John Textor de se pencher sur le moral de ses troupes.
L'OL sombre en 45 minutes, attention danger
🔚 C'est terminé au @GroupamaStadium sur ce score de parité 🔴🔵
— Olympique Lyonnais (@OL) October 8, 2023
Prochain rendez-vous après la trêve internationale avec la réception de Clermont le dimanche 22 octobre à 20h45 📆
3-3 #OLFCL pic.twitter.com/MZkjqIsc1P
L'ancien buteur de l'Olympique Lyonnais, qui se confie dans Le Progrès, explique qu'à ce niveau de fiasco, l'OL doit vite recruter un psychologue avant de ramener un minimum de sérénité dans un vestiaire en ruine. « Quand on voit comment tout s’est liquéfié en deuxième période, c’est que les joueurs ont vraiment peur. Il va falloir travailler énormément sur le côté psychologique. Cette trêve, même sans victoire, arrive au bon moment. Ça peut être l’occasion de laver les têtes, travailler la semaine sans enjeu le week-end. Il faut essayer de gommer le message envoyé aux adversaires depuis le début de saison, celui d’une équipe prenable facilement. Il ne faut pas penser que ça va se finir facilement, ça va être dur et long. J’espère qu’on va s’en sortir », a reconnu Sidney Govou,