OL ‍: Bosz, une boulette qui cache un secret ‍?

OL : Bosz, une boulette qui cache un secret ?

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Samedi soir, Peter Bosz a aligné un onze de départ incompréhensible à Monaco aux yeux des supporters et des observateurs de l’OL.

Alors qu’il disposait de plusieurs forces vives avec Tanguy Ndombele, Romain Faivre mais aussi le retour de Lucas Paqueta, l’entraîneur de l’Olympique Lyonnais a aligné un onze de départ très proche à celui qu’il avait choisi contre Marseille avec une défense à cinq. Or, c’est précisément lorsque Peter Bosz a abandonné sa défense à cinq que Lyon a dominé l’OM la semaine dernière après une première mi-temps cauchemardesque. Les choix de Peter Bosz, qui avait persisté avec son 5-2-3 et qui avait laissé Faivre, Cherki et Ndombele sur le banc à Monaco en première mi-temps, soulèvent un certain nombre de question. Au micro de RMC dans l’After Lyon, le consultant Rolland Courbis a tenté de comprendre les choix de Peter Bosz. Mais pour l’ancien entraîneur de Marseille et de Montpellier, le coach de l’OL n’a rien fait de logique. Des erreurs trop grosses pour être vraies selon Courbis, persuadé qu’il y a bien une explication secrète à tout cela…

Courbis ne comprend pas Peter Bosz

« Les choix de Peter Bosz à Monaco sont incompréhensibles. J’essaie de me mettre à sa place, mais c’est vrai que là je n’ai pas l’explication. J’ai essayé de combattre depuis de longues années une des phrases les plus connes que j’ai pu entendre c’est-à-dire qu’on ne change pas une équipe qui gagne. Pour le dernier match, l’organisation qui a gagné contre l’OM c’est l’organisation de la deuxième période (en 4-4-2). Il y a un truc chez Peter Bosz qui nous échappe certainement car cette erreur est trop grossière, elle n’est pas logique du tout. Ne pas mettre un copain à côté de Dembélé pour ne pas avoir un 4-4-2 tout simple, ce n’est pas logique. Et pourquoi ne pas faire jouer Ndombele titulaire quitte à le sortir à l’heure de jeu ? Je n’ai pas les explications et pourtant, une de mes habitudes est de me mettre à la place des entraîneurs et d’essayer de les comprendre » a analysé Rolland Courbis, qui a tenté en vain de comprendre les choix ubuesques de Peter Bosz en Principauté.