Revenant sur l'incident avec Baky Koné, mercredi dernier en Coupe de France, Hugo Lloris a encore une fois tenu à calmer le jeu sans rajouter de l'huile sur le feu.
« Mon souci, c'était surtout la santé de « Baky ». Concernant ce qu'il s'est dit autour, notamment dans la presse, je suis comme d'habitude resté en retrait, je n'ai suivi que d'une oreille. Tout le monde avait des choses à dire, s'est exprimé, on peut maintenant passer à autre chose. L'essentiel est que Baky ne va pas se faire opérer, qu'il va retrouver très vite les terrains. Mais je comprends très bien la déception des dirigeants marseillais. Ca a été un choc maladroit dont l'impact a été assez important. Voir Baky dans cet état-là fut très impressionnant, m'a choqué, mais il ne faut pas tout mélanger : comparer ma sortie à celle de Schumacher est déplacé car à l'inverse de ce dernier j'ai joué le ballon. Cela fait partie du jeu malheureusement. Baky est un bon copain, avec qui j'ai passé du temps à Nice », a rappelé le gardien de but de Lyon.