Alors que le football européen se mobilise pour l'Ukraine, l'OL n'est pas en reste ces derniers jours. Le club de Jean-Michel Aulas s'est montré généreux dans ses dons aux victimes mais il ne compte pas s'arrêter là.
Devant le chaos dans lequel est plongé l'Ukraine depuis le 24 février dernier, la réponse du football européen a été unanime. Le soutien au peuple ukrainien a été massif et diversifié. L'OL a été l'un des clubs français en vue sur cette question. Vendredi, le club rhodanien avait annoncé que sa fondation donnerait 50 000 euros à l'UNICEF pour venir en aide aux enfants ukrainiens. Un beau geste sur le plan financier sur lequel l'OL ne va pas s'arrêter. En effet, le président Jean-Michel Aulas compte s'investir pour un plus grand nombre d'Ukrainiens à travers des actions ciblées.
L’OL s’engage aux côtés de l’aide internationale pour l’Ukraine.@OLfondation va remettre un don de 50 000 € à @UNICEF_France pour répondre aux besoins des enfants en situation d'urgence.
— Olympique Lyonnais (@OL) March 4, 2022
D'autres actions seront bientôt mises en place. #JouonsLaCollectif https://t.co/NIyUhRMluU
Aulas veut aider les joueurs privés de club par la guerre
En effet, selon le Journal du Dimanche, le président lyonnais aimerait porter assistance aux familles des joueurs ukrainiens, sur place ou en les aidant à se mettre à l'abri du conflit. Mais, au-delà de tout cela, il veut intervenir sur l'avenir des joueurs impactés directement par la guerre en Ukraine et ses répercussions.
Cela vise les joueurs ukrainiens ou jouant en Ukraine mais pas que. Depuis l'adoption de sanctions sportives contre les clubs russes et leur exclusion des coupes d'Europe, certains étrangers évoluant dans le pays ont été libérés de leur contrat. C'est le cas à Krasnodar pour huit joueurs étrangers dont le Français Rémy Cabella. Jean-Michel Aulas veut que l'UEFA mette en place un système pour leur permettre de trouver un club sans attendre le début du mercato estival, le 9 juin prochain en France. Une initiative qui devrait faire écho en Europe et qui soulagerait ces victimes collatérales du conflit.