L'OL est accusé de vouloir faire grimper les enchères concernant Bruno Guimaraes, en inventant un nouveau club intéressé par sa venue.
A désormais quatre jours de la fin du marché des transferts, cela négocie sec pour le départ de Bruno Guimaraes à Newcastle. Le club anglais a déjà proposé 40 millions d’euros, mais l’OL est persuadé de pouvoir récupérer une plus grosse somme de la part du nouveau riche de la Premier League. Les discussions sont en cours, mais tous les arguments sont bons pour essayer de faire grimper l’addition. Récemment, la possibilité de voir Bruno Guimaraes bifurquer pour rejoindre Tottenham est apparue dans la presse anglaise. Une manière aussi de faire comprendre aux Magpies qu’ils ne sont pas seuls sur le coup, et qu’ils feraient bien de se montrer un peu plus entreprenants s’ils ne veulent pas tout perdre.
Newcastle est tout seul sur le coup
- Finir sur le podium de la Ligue 1, qui risque d'être compliqué
— Et dieu créa Fekir (@EtDieuCreaFekir) January 26, 2022
- Départ de Juninho
- Pas de recrue
- Offre de 40 millions de Newcastle pour Bruno Guimaraes, accepté par l'Olympique Lyonnais d'après plusieurs rumeurs
Les lyonnais en ce moment pic.twitter.com/JRgi4gp0iu
Mais le Northern Echo, l’un des principaux journaux de la région de Newcastle, a mené son enquête, et assure que, malgré les fuites possiblement organisées par l’OL, Tottenham n’est absolument pas dans la course pour faire signer le milieu de terrain brésilien. Le média explique que Newcastle est tout seul sur le coup, laissant entendre qu’il n’y a donc pas de raison de s’affoler et de faire grimper les enchères abusivement. Une partie de bras de fer habituelle dans la dernière ligne droite du mercato, même si l’issue ne pas fait pas beaucoup de doute. A moins d’une grosse surprise, l’OL et Newcastle vont finir par trouver un accord, les bases étant déjà posées et Bruno Guimaraes ayant accepté l’idée de signer chez les Magpies si tout le monde était d’accord. Néanmoins, Lyon est prévenu, et le club anglais n’a pas envie de passer pour le pigeon de service même si ses premières opérations réalisées cet hiver le laissent penser.