L’année de la confirmation est parfois plus compliquée. Surprenant quatrième de Ligue 1 la saison dernière, l’OGC Nice est en train d’en faire l’expérience. Les hommes de Claude Puel sont davantage surveillés et ne bénéficient plus de l’effet du surprise de l’an passé. C’est peut-être l’explication des difficultés niçoises dans le jeu. Et pour ne rien arranger, les Aiglons subissent actuellement une cascade de blessures, notamment au poste de gardien de but (Ospina, Bauthéac, Bodmer…). Une situation à laquelle Claude Puel est habitué pour l’avoir connue sur d'autres bancs de Ligue 1.
«Malheureusement oui, à Lille et à Lyon également, s’est rappelé l’entraîneur de Nice lors d’un entretien accordé à L’Equipe. On avait déjà eu une période avec pas mal de blessés en janvier-février dernier, alors qu’on n’avait rien eu les six mois précédents. Ça fait partie des choses inhérentes à un club, à une saison, mais c’est vrai qu’il y a comme une loi des séries. Là, on est sur des aspects « genou », en plus à chaque fois il s’agit d’un traumatisme. Ce sont des coups, des duels, c’est difficile à appréhender, à anticiper. » Malchance ou conséquence logique ? Car Claude Puel est réputé pour tirer le maximum du physique de ses joueurs.