Depuis la saison dernière, le FC Nantes a repris des couleurs entre autres suite à l’arrivée d’Antoine Kombouaré. Mais l’entraîneur de 58 ans est monté au créneau pour refuser les éloges faites à son égard à la suite des bonnes performances du FC Nantes.
Arrivé la saison dernière pour pallier à l’échec Domenech et assurer le maintien des Canaris en Ligue 1, Antoine Kombouaré a validé sa mission après un ultime barrage face au Toulouse FC. Cette saison, les Nantais ont pris leur envol au classement avec une 9e place et des résultats positifs : 10 victoires, 5 nuls et 9 défaites. Le FC Nantes ne pointe qu’à 2 points de Rennes, 5e et dernière équipe pour le moment qualifiée en Europe. La dynamique Kombouaré a aussi pris en Coupe de France où lui et ses joueurs tenteront de battre l’AS Monaco en demi-finale à la Beaujoire le 2 mars prochain pour rallier une possible 9e finale dans la compétition. Antoine Kombouaré a transformé le FC Nantes, mais il ne faut surtout pas lui dire.
Kombouaré : « Ma seule publicité, c’est mon travail »
Antoine Kombouaré. pic.twitter.com/kXvkd7rHgX
— Poildeballon (@Poildeballon_) February 17, 2022
Un journaliste a fait cette erreur lors d’un entretien avec Antoine Kombouaré pour Le Parisien. Le premier entraîneur du PSG sous l’ère QSI a démarré au quart de tour quand on lui a demandé si ces résultats positifs étaient dû à la patte Kombouaré. « Si vous voulez m’énerver, parlez comme cela. J’ai horreur de cela. C’est un sport et un travail collectif. Je ne suis pas seul. Un club, ça part des joueurs et du staff jusqu’aux administratifs et aux femmes de ménage. Je le pense sincèrement. Tout part des joueurs. Je ne suis pas un flic. C’est tellement facile de me réduire à cette image. Il y a aussi beaucoup de psychologie dans mon travail. D’ailleurs, si je parle très peu médiatiquement, c’est justement à cause de cette réputation débile de militaire qu’on m’a collée. Dans la réalité, cette étiquette, je m’en bats les… Ma seule publicité, c’est mon travail » a déclaré Antoine Koumbouaré, furieux. Il ne faut pas mettre en avant Antoine Kombouaré.