Nancy jouera une partie de son avenir en Ligue 1 dimanche contre Nice. Et certains dans les coulisses du club estiment déjà que l’annonce faite, il y a quelques semaines, par Pablo Correa qu’il allait quitter Nancy a probablement plombé son équipe. Un argument que réfute fermement le président du club lorrain.
« C'est des conneries. A Rennes, Frédéric Antonetti a annoncé qu'il restait et ça ne marche pas. C'est du bla-bla! Je n'ai rien à reprocher à Pablo, il est exemplaire dans son comportement et son attitude au quotidien. C'est un meneur d'hommes, il est toujours là. On a un groupe qui est composé de joueurs hyper talentueux mais qui n'y arrivent pas. Il faut vraiment que les gars se rebellent, se dépouillent complètement à chaque match. Il en reste trois, ce sont trois matches de Coupe du monde. Quand ils sortiront du terrain, ils ne devront avoir aucun regret. Je pense qu'il faut encore cinq à six points et ça passera », explique Jacques Rousselot dans un entretien à l’Agence France Presse.