Après de longs mois de discussions, de désaccords et de conflits, l’Olympique de Marseille et Arema sont enfin parvenus à un accord.
Le pensionnaire de Ligue 1 deviendra le seul gestionnaire du Vélodrome et pourra organiser ce qu’il souhaite dans l’enceinte tout au long de l’année. Du coup, les idées se multiplient dans l’esprit de Jacques-Henri Eyraud, déterminé à faire du stade olympien un lieu vivant en dehors des matchs officiels.
« Je vous donne un certain nombre d’exemples. L’OM a par le passé organisé des matchs amicaux de prestige qui ont été des événements à succès. On pourrait dans une saison proposer des affiches, proposer des plateaux, pourquoi pas d’ailleurs des tournois ? Ce sont des choses qui se font chez certains très grands clubs en Europe et qui permettraient aux Marseillais de voir l’OM jouer contre des grandes équipes européennes », a proposé le président du club phocéen.
Eyraud rassure les supporters
« Il y a également d’autres types de compétitions sportives que nous pourrions continuer à organiser. Aussi les spectacles vivants, a ajouté le dirigeant. Puis dans le domaine des séminaires, nous allons essayer de concevoir une offre qui n’est pas seulement une offre qui concerne un espace mais relier cette offre à ce qu’est l’OM. Comment l’OM peut devenir pertinent à travers une offre de séminaires ? Je crois que nous avons une carte à jouer, à imaginer. »
« Et puis on vit à l’âge du numérique, de la technologie, on a aussi imaginé des lieux au sein du stade qui pourraient faire l’objet d’une exploitation 365 jours par an. Ça pourrait devenir des attractions même si, j’ai travaillé chez Disney mais je ne vais pas transformer l’Orange Vélodrome en parc d’attractions, rassurez-vous », a promis Eyraud, très enthousiaste en évoquant tous ces projets.