De retour suite à un prêt à Frosinone, Pol Lirola a repris l’entraînement avec l’Olympique de Marseille. Le latéral droit espagnol pourra faire ses preuves sous les yeux du nouveau coach Roberto De Zerbi. Sauf si la direction décide de l’utiliser pour faciliter l’arrivée du gardien de Las Palmas Alvaro Valles.
Revoilà Pol Lirola. Prêté la saison dernière à Frosinone, suite à un premier prêt du côté d’Elche en Espagne, le latéral droit fait son retour à l’Olympique de Marseille. L’Espagnol était effectivement présent pour la reprise de l’entraînement sur les terrains lundi. Logique, puisque l’ancien joueur de la Fiorentina est lié au club phocéen jusqu’en 2026. Reste à savoir si son statut d’indésirable reste d’actualité. Un revirement de situation n’est pas à exclure étant donné le changement d’entraîneur.
Une nouvelle chance pour Lirola ?
Après le départ de Jean-Louis Gasset, son successeur Roberto De Zerbi pourrait bien redistribuer les cartes. Il faut aussi rappeler que l’Olympique de Marseille cherche justement un latéral droit. L’international français Jonathan Clauss n’est absolument pas retenu. Et la piste menant à Youcef Atal semble au point mort après l’intervention du maire phocéen Benoît Payan. Peut-être une occasion à saisir pour Pol Lirola qui, malgré de bonnes performances, n’a pas réussi à s’imposer durablement sous le maillot olympien.
🔵⚪️ | 🇪🇸 Le club de Las Palmas s’intéresse au profil de Pol Lirola ! Il arrive en fin de contrat avec le club en 2026 ! #TeamOM pic.twitter.com/zN6UsmYsE9
— La Minute OM (@LaMinuteOM_) July 10, 2024
Il ne serait pas étonnant de voir le président Pablo Longoria le pousser vers la sortie en cas d’offre satisfaisante. Surtout si la proposition vient de Las Palmas. En effet, le compte La Minute OM affirme que le récent 16e de Liga s’intéresse à Pol Lirola. Ce même club espagnol qui négocie avec l’Olympique de Marseille pour le transfert de son gardien Alvaro Valles. Autant dire que Pablo Longoria ne se gênera pas pour utiliser l’ancien jeune de la Juventus Turin dans les discussions. Le tout en tenant compte de l’avis de Roberto De Zerbi bien sûr.