Dans le quotidien La Provence, Vitorino Hilton avoue que la pression qu'il subit à Marseille n'est en rien comparable avec celle connue au Brésil.
« C'est plus difficile au Brésil. Il y a beaucoup plus de problèmes là-bas qu'ici ! Moi, je n'ai pas de pression. Mon père en avait, lui. Il avait cinq enfants à la maison et tous les matins, il se levait pour partir travailler. Lui, il avait l'obligation de ramener de quoi manger à sa famille. Ça, oui, c'est de la pression. À côté de ça, moi, je n'en ai pas ici, à l'OM. Si le public me siffle, je suis d'accord avec lui car cela signifie que je n'ai pas été bon et il sait que j'ai le potentiel pour être performant », précise le défenseur de l'Olympique de Marseille.