Le milieu de terrain marseillais a su saisir sa chance pour se montrer décisif en l’absence de Lucho. A l’OM d'en faire de même face au Milan et au Real pour se qualifier en 1/8e de finale.
Remis en selle en championnat autant grâce à la victoire face au PSG qu’aux points perdus par Bordeaux et Lyon récemment, l’OM aborde désormais la partie la plus délicate de sa fin d’année. Face au Milan AC et au Real Madrid, les Marseillais se doivent de prendre quatre points pour se qualifier, et une victoire à San Siro ce mercredi est même vivement recommandée, car remonter les quatre buts d’écart face aux Espagnols ne sera pas chose aisée, même au Vélodrome. Pour Fabrice Abriel, l’important sera surtout de se reprendre par rapport à la claque du match aller, de se mettre au niveau.
« Rien n’est impossible. Gagner serait une bonne option, sachant que l’on peut battre le Real chez nous. L’essentiel est de montrer le même visage qu’actuellement dans le don de soi et dans l’effort. On sera forcément récompensés car il y a la qualité qui va avec. Il ne faudra pas passer à travers l’événement. C’est surtout ça le plus intéressant pour nous », a estimé le milieu de terrain olympien, pour qui l’important sera surtout d’être dans la continuité des matchs solides disputés face à Zurich, Lyon et Paris.
« Le football est tellement aléatoire qu’on a le droit de penser qu’on peut encore se qualifier. Il faut rester dans la dynamique actuelle qui va nous permettre, peu importe le résultat de grandir encore et de prendre suffisamment de confiance pour la suite de la saison. Aujourd’hui, on cherche la régularité », a reconnu Fabrice Abriel, membre de plus en plus influent du jeu olympien, et dont la science du jeu pourrait être déterminante à Milan ce mercredi.
