Dans un peu plus d'un mois, la coupe du monde 2022 débutera au Qatar. Parmi les grands favoris figurent le Brésil, la France et l'Argentine, les sélections des trois stars du PSG. Mais, pour Lionel Messi, l'Albiceleste est en-dessous de ses deux rivaux.
Ramener la coupe à la maison. Début janvier 2023, les paroles de la célèbre chanson de Vegedream ont des chances de devenir réalité au PSG. Reste à savoir quels membres du vestiaire pourront entonner cette chanson. En effet, la plupart des observateurs s'accordent à placer le Brésil, l'Argentine et la France comme les principaux favoris de la coupe du monde 2022. En d'autres termes, la sélection de Neymar, celle de Lionel Messi ainsi que celle de Kylian Mbappé. Au vu du jeu déployé, des effectifs à disposition et du parcours qui les attend au Qatar, il est légitime d'accorder une belle cote à ces trois pays.
Messi place le Brésil et la France au-dessus de tout
Le capitaine argentin, Lionel Messi, a été amené à réagir à ce scénario. C'était auprès de la chaine sportive de son pays, DirecTV Sports. Après un peu de langue de bois où il a déclaré toute son admiration pour le Brésil, l'Allemagne, l'Angleterre et à peu près tous les principaux pays, Lionel Messi a été plus franc. Il a donné son sentiment personnel sur les favoris du Mondial, n'hésitant pas à considérer l'Argentine inférieure en terme d'effectif. Surtout, face à deux mastodontes qu'il connaît bien.
Do you agree with Lionel Messi? pic.twitter.com/80czTUYqRU
— Frank Khalid (@FrankKhalidUK) October 18, 2022
« Nous disons toujours les mêmes grandes équipes. Mais, si je dois choisir, le Brésil et la France sont les deux grands candidats pour remporter la Coupe du monde. Ils ont le même groupe depuis longtemps, ils fonctionnent bien. La France, à part le dernier Euro où ils ont été éliminés et ont mal fait, ils ont des joueurs impressionnants. Ils ont une idée claire et le même entraîneur (Didier Deschamps). Le Brésil, c'est un peu pareil (avec Tite) », a t-il lâché. Son sélectionneur Lionel Scaloni et ses coéquipiers apprécieront modérément. A moins que ce ne soit qu'un petit coup de bluff d'une Pulga plus expérimentée que jamais à l'aube de son cinquième mondial.