En attendant le tirage au sort des barrages qualificatifs pour la Coupe du monde 2014, l’équipe de France attend impatiemment de savoir qui de l’Ukraine, le Portugal, la Croatie ou la Grèce sera son adversaire à la mi-novembre. Et pour passer le temps, de nombreux observateurs s’expriment principalement au sujet des craintes que peuvent avoir les Bleus, comme si les trois victoires consécutives avaient apporté davantage d’inquiétudes que de garanties. Mais pour Robert Pirès, la peur doit plutôt être du côté des adversaires de l’équipe de France.
« Ce sera difficile, compliqué même parce que ces quatre équipes sont toutes différentes mais il ne faut pas oublier que nous sommes l’équipe de France, a lâché l’ancien Champion du monde à l’occasion du rassemblement du Variétés Club de France mercredi. Nous possédons quelques-uns des meilleurs joueurs dans les meilleurs championnats. C’est un avantage. Et puis les autres équipes ne veulent pas jouer contre nous non plus, ce qui prouve la force que nous avons lorsque l’on est l’équipe de France. » Il est vrai que le Portugal préfèrerait sans doute affronter la Roumanie ou l’Islande plutôt que la France, qui l’avait éliminé en demi-finales de la Coupe du monde 2006.