En pleine trêve internationale et alors que le Paris Saint-Germain est encore chancelant après son élimination en Ligue des Champions, le feuilleton Adrien Rabiot continue de plus belle.
Le milieu de terrain a été mis à pied par son club et sa mère, qui représente également ses intérêts, a pris la parole dans une longue interview cette semaine afin de charger le club de la capitale. Bref, rien ne va plus, et un licenciement est toujours possible, même s’il aurait du mal à tenir à l’égard des « fautes » du joueur. En attendant, ce mic-mac ne permet pas au PSG à passer pour un club irréprochable, une image qui tient à cœur les dirigeants.
Mais la fermeté d’Antero Henrique n’aide pas à retrouver de la sérénité dans ce dossier qui s’est réellement compliqué l’été dernier, quand le transfert d’Adrien Rabiot n’a pas été jugé comme une option réelle par Nasser Al-Khelaïfi. C’est ce que lui reproche Pierre Ménès, pour qui le président du PSG a fait l’erreur d’être persuadé que Rabiot finirait par prolonger à Paris, et voit ainsi plusieurs dizaines de millions d’euros lui passer sous le nez. Car l’été dernier, si le PSG avait été vendeur, c’est un joli pactole qui serait tombé dans l’escarcelle du champion de France, même si le président qatari n’a jamais envisagé la chose sous cet angle. Une preuve selon le consultant de Canal+ que les torts sont partagés dans ce dossier et qu'il y a eu une faute des gestion, ou de discernement, de la part de NAK.
Les torts sont partagés. Paris aurait du le vendre l’été dernier. Mais sa mère lui a déjà fait faire tellement d’âneries https://t.co/XfKsng8iRt
— Pierre Ménès (@PierreMenes) 20 mars 2019