L’avenir de Lionel Messi est toujours incertain, surtout que le FC Barcelone jette ses dernières forces dans la bataille.
Avec l’élection de Joan Laporta, le club catalan espère pouvoir convaincre son attaquant de rester encore une ou deux saisons, plutôt que de partir comme il avait prévu de le faire dès l’été dernier. Les résultats plutôt décevants du FC Barcelone, notamment en Ligue des Champions avec l’élimination face au PSG, incitent tout de même grandement La Pulga à aller voir ailleurs. Surtout si le club parisien passe à l’action, avec des arguments financiers, sportifs et la présence de Neymar. Peu de clubs peuvent se payer les services de Lionel Messi, mais dans un entretien sur Twitch avec Ibai Llanos, Sergio Ramos s’est prêté au jeu de la question d’une arrivée de Lionel Messi au Real Madrid. Et le défenseur emblématique de la Maison Blanche n’a pas dit non, bien au contraire.
« Oui à 100 %. En fait, les premières semaines, je lui prêterais même ma maison si nécessaire pour qu'il puisse s'installer. J'en serais ravi. Nous, Madridistas, avons eu à souffrir de Leo dans ses meilleures années. Ne pas avoir Messi contre nous serait un grand bonheur. Il t'aide à gagner et à obtenir plus de succès », a livré le rugueux international espagnol, qui pendant des années lors des Clasicos, a tenté de découper la star du Barça. Pas de rancune donc pour Sergio Ramos, même s’il y a des limites, et notamment une perspective de faire le chemin inverse, c’est à dire de quitter le Real pour aller à Barcelone.
Messi oui, Piqué et Xavi non
« Il n'y a aucune chance. J'aime bien Laporta, je l'ai rencontré une fois et il m'a plu. Mais il y a des choses dans la vie que l'argent ne peut pas acheter. C'est quelque chose d'impossible. Tout comme on ne verra jamais Xavi ou Piqué à Madrid », a expliqué le champion du monde 2010, pour qui Messi n’entre donc pas dans cette catégorie de joueurs impossibles à aller chercher le rival. Cette sortie médiatique devrait toutefois rester sans suite, personne n’imaginant le numéro 10 argentin rejoindre le rival de toujours.