Suite aux dépenses de Manchester City et du Paris Saint-Germain cet été, certaines grosses écuries ont tiré la sonnette d’alarme.
Leur objectif ? Outre le fait de rester au sommet de la hiérarchie, des formations telles que le Bayern Munich ou le FC Barcelone espèrent stopper la hausse des prix du marché. Alertée, l’UEFA a promis de se pencher sur la question. Et elle ne sera pas la seule. « C'est notre responsabilité de mettre à mal le système des transferts dans le futur. Désormais on va voir ce qu'on peut faire », a annoncé le président de la FIFA Gianni Infantino, choqué par ce dernier mercato et par la redistribution des sommes versées.
« Nous avons constaté cet été une hausse significative du prix des transferts. On est passé de 3,6 milliards à 4,6 milliards d'achats, soit un milliard en une année, a rapporté le dirigeant. Alors, attention, ce n'est pas forcément négatif, car il y a une redistribution. Mais en même temps, on a vu que les agents prenaient de plus grosses commissions. Alors que les paiements de solidarité et autres compensations baissaient. C'est ce qui nous inquiète beaucoup. » Comme l’UEFA avec le PSG, la FIFA a visiblement identifié ses cibles.