Jean-Marc Furlan, qui devrait être limogé de Strasbourg dans les prochains jours, concède dans le quotidien l’Alsace qu’il vit mal cette période. « Non, entraîneur est un métier de passion. J’ai mis tellement de force dans ce projet, en tissant des liens d’amitié avec les techniciens, médecins et kinés, qui sont tous des Alsaciens de longue date, que ce n’est pas facile à vivre. Je ne peu x pas prendre les choses à la légère parce qu’on n’engage pas seulement des heures de travail mais aussi son âme. Cette situation d’échec est douloureuse, surtout que le groupe a fait une bonne saison. A un point près, on était des héros, mais avec ce point en moins, on est des zéros », concède l’entraîneur alsacien.