TV ‍: DAZN ne répond pas à cette question à 10 euros

TV : DAZN ne répond pas à cette question à 10 euros

La guerre du montant de l'abonnement à DAZN n'est pas finie, et la chaine britannique n'a pas encore dévoilé sa politique pour l'année 2025. 

A l’approche de la mi-saison, la satisfaction ne peut pas être de mise concernant la relation entre la Ligue 1 et ses diffuseurs. BeIN Sports s’est froissé avec les clubs en demandant du sponsoring made in Qatar pour sa couverture globale même si la chaine qatarie ne diffuse qu’un match par journée. Et DAZN a connu des débuts tardifs et surtout très difficiles, avec un prix rebutant qui a causé un grand désamour. Depuis, l’opérateur a progressivement baissé ses tarifs pour essayer de ne pas trop se couper du grand public, et récupérer des abonnés. Ainsi, l’abonnement est passé de 30 euros, à 20 euros au gré de plusieurs promotions. Des offres qui peuvent même être partagées désormais, selon les choix effectués par les suiveurs de la Ligue 1.

Mais l’emballement ne semble pas forcément de mise, d’autant que sur les réseaux ou même dans la presse, de nombreux témoignages dénotent que l’opérateur a beaucoup de mal à se plier à certaines règles de base, comme de prendre en compte le nouveau tarif avec réduction, ce qui n’empêche pas des prélèvements aux montants précédents. Ou certains téléspectateurs qui s’étaient désabonnés à la fin de leur offre, ont vu les prélèvements continuer malgré la fin de leur abonnement. Néanmoins, les efforts financiers effectués par DAZN ont permis de calmer le jeu, et rendre le football à un tarif plus normal pour les passionnés de Ligue 1.

Quel prix pour l'abonnement en 2025

Mais ce jeudi, Le Parisien s’interroge sur ce tarif à 19,99 euros par mois pour suivre les 8 matchs de chaque journée, et s’il sera toujours valable en 2025, où si cela va remonter à 29,99 euros comme en début de saison. Questionnée à ce sujet, la plateforme britannique n’a pas voulu répondre, signe que DAZN navigue encore à vue concernant sa stratégie pour la Ligue 1. Tout cela alors que le cap des 1,5 millions d’abonnés s’annonce quasiment impossible à atteindre d’ici un an, alors que la lutte contre le piratage peine à être efficace contre l’IPTV.