Le divorce semble consommé entre DAZN et le public français, tant la plateforme qui diffuse la Ligue 1 collectionne les avis négatifs.
Entre DAZN et le public français, la mayonnaise n’a jamais vraiment pris. Dès l’acquisition des droits de la Ligue 1 pour la période 2024-2029, la plateforme anglaise a fait l’objet de vives critiques en raison du prix colossal de l’abonnement, fixé à 40 euros par mois sans engagement ou 30 euros par mois avec engagement. Le prix a depuis été revu à la baisse, mais la pilule n’est jamais vraiment passée chez de nombreux consommateurs, notamment ceux qui paient toujours plein pot à ce jour et qui ne peuvent pas bénéficier des promotions. La qualité éditoriale de la chaîne est également la cible de critiques.
🎙 | Les frissons de nos commentateurs sur le but de Nabil Bentaleb ! 🥹🌟 #SRFCLOSC pic.twitter.com/ePFh83wIV0
— DAZN France (@DAZN_FR) February 17, 2025
Et malgré l’apparition d’un multiplex et d’une émission le dimanche, cela ne s’arrange pas. La preuve avec la dernière publication de DAZN sur X, qui met en valeur les commentaires de Julien Brun, de Benoît Cheyrou et de Walid Acherchour lors du but inscrit par le revenant Nabil Bentaleb avec Lille contre Rennes dimanche soir. Les commentaires des internautes sont piquants, et démontrent d’un total désamour entre le public français et le diffuseur principal de la Ligue 1.
DAZN de plus en plus impopulaire
« WoW quel frisson des commentateurs… », « Être trois pour aussi mal commenter faut le faire quand même », « Quels frissons ? C’est plat », « C'est le bordel on comprend rien. C'est nul », « Payez d'abord la Ligue », « On va dire que je suis hater mais c’est nul non ? » ou encore « Barrez vous et revenez plus jamais » peut-on lire de la part des fans de foot en France, pas tendres avec DAZN, qui fait de plus en plus l’unanimité… contre lui. Un terrible constat pour la chaîne, dont la cote de popularité ne s’est évidemment pas améliorée avec le conflit désormais public avec la LFP puisque pour rappel, le « Netflix du sport » a refusé de payer la moitié de son échéance du mois de février auprès de la Ligue de Football Professionnel, ce qui impacte directement la trésorerie des clubs de Ligue 1.