TdC ‍: PSG-Monaco encore reporté, la LFP n’en peut plus

TdC : PSG-Monaco encore reporté, la LFP n’en peut plus

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Suite à un premier report, la Ligue de Football Professionnel envisageait d’organiser le Trophée des Champions le 28 août à Louis-II. Mais la date est aussi celle de la cérémonie d’ouverture des Jeux Paralympiques, ce qui oblige l’instance à chercher un autre créneau pour le match entre le Paris Saint-Germain et l’AS Monaco.

Décidément, la Ligue de Football Professionnel a du mal à caser le Trophée des Champions. Le match entre le Paris Saint-Germain et l’AS Monaco devait initialement se jouer à Pékin le 8 août. Mais un premier report a obligé l’instance à revoir ses plans. On apprenait la semaine dernière que la Ligue envisageait sérieusement de programmer la rencontre le mercredi 28 août au Stade Louis-II. Mais là encore, un contretemps vient tout chambouler.

La date choisie est aussi celle de la cérémonie d’ouverture des Jeux Paralympiques, un événement que la Ligue de Football Professionnel refuse de concurrencer, a appris la rédaction de Radio France. De plus, l’instance dirigée par Vincent Labrune ne peut pas organiser le Trophée des Champions un après-midi sur le Rocher, par crainte des fortes chaleurs prévues à cette période de l’année. Un véritable casse-tête pour les décideurs du football français. La saison dernière, la Ligue de Football Professionnel avait déjà reporté cette finale entre le Paris Saint-Germain et Toulouse (2-0) au 3 janvier.

Deux calendriers chargés

Parisiens et Monégasques étant directement qualifiés pour la saison régulière de la Ligue des Champions, un créneau similaire n’est pas à exclure pour cette édition 2024. Du moins si le champion de France en titre valide cette hypothèse. Il y a quelques jours, le journaliste de RMC Daniel Riolo racontait comment un caprice du Paris Saint-Germain avait provoqué le premier report. « Ce PSG-Monaco devait se jouer en Chine mais le PSG a décidé qu'il n'y avait pas de tournée en Chine parce qu'il y a eu un problème de visa », expliquait notre confrère.