La Direction Nationale du Contrôle de Gestions des clubs professionnels de football a clairement vu que cette année, tandis que la majorité des équipes de Ligue 1 et Ligue 2 tirait la langue, le Paris Saint-Germain et l’AS Monaco menaient, eux, la grande vie. Dotées de moyens colossaux, les deux formations ne se refusent rien et pour la DNCG c’est bon pour tout le monde. « Ça a mis de l’argent dans la machine et permis à tous les clubs, peut-être pas tout de suite, d’avoir des transferts plus rémunérateurs. Au niveau de la machine économique, le rôle des dirigeants du PSG, comme ceux de Monaco, est super. Ça donne de l’argent à une machine qui en avait besoin », explique, sur RMC, Richard Olivier, patron de la DNCG. Reste quand même à savoir ce qu’il adviendra de tout cela à long terme, mais cela n’est pas encore le problème de l’instance de contrôle.