C’est le premier mercato de France, celui qui conditionne bien souvent les transferts des joueurs.
Les changements d’entraineurs vont être nombreux cet été, et jusqu’à 13 sièges peuvent être à pourvoir, selon L’Equipe, qui se penche sur ce jeu des chaises musicales ce mardi. Seuls sept clubs sont assurés de rester avec le même technicien la saison prochaine. Il s’agit de Rennes (Genesio), Lens (Haise), Metz (Antonetti), Dijon (Linarès), Monaco (Kovac), Marseille (Sampaoli) et le PSG, où Pochettino vient d’arriver. Pour le reste, cela va secouer et Angers, Bordeaux, Montpellier, Nice, Strasbourg, Reims et Lyon vont changer d’entraineur. C’est même déjà acte à l’OL, où Rudi Garcia laisse entendre, tout comme son président Jean-Michel Aulas, que tout peut encore être décidé à l’issue du championnat. Mais le couperet est déjà tombé et Juninho, qui a beaucoup de mal à s’entendre avec le technicien français, planche sur les solutions de remplacement.
En dépit de sa très belle saison avec Lille, qui pourrait être récompensée par un titre, Christophe Galtier est toujours annoncé sur le départ. L’OL justement, mais aussi Nice, le courtisent, alors qu’il a des touches en Italie. Enfin petite surprise à Saint-Etienne, où Claude Puel bénéficie d’un contrat en béton. Mais le manager stéphanois est aussi suspendu à l’éventuelle vente de l’ASSE. Néanmoins, le dossier est toujours aussi épineux, et il semble peu probable de voir les Verts être vendus pendant l’été, les deux présidents ayant déjà beaucoup de mal à afficher une ligne directrice concrète à ce sujet. A Lorient, Nantes, Brest et Nîmes, le changement est aussi envisagé. Enfin, L’Equipe se penche également sur les coachs en attente d’un poste, et on y retrouve Laurent Blanc, qui pourrait revenir du Qatar en cas de belle offre en France, notamment de Lyon, mais aussi Julien Stéphan, qui est murmuré à Bordeaux si jamais les Girondins venaient à rester, sportivement et financièrement, en Ligue 1.