Débarqué du Canal+ Football Club, Pierre Ménès traverser une période difficile. Et du côté de la chaîne cryptée, les langues se délient.
Pierre Ménès a toujours vanté les qualités de sa relation avec Canal+, rappelant régulièrement que la chaîne cryptée ne l’avait pas lâché lorsqu’il avait été terriblement malade. Oui, mais voilà, cette fois du côté de C+ on est décidé à ne pas laisser passer les révélations récentes sur l’attitude du plus célèbre consultant du football français. La preuve, Pierre Ménès ne sera pas au Canal Football Club dimanche prochain, et il se chuchote de plus en plus qu’il ne reviendra jamais sur le plateau du CFC, là même où il avait « soulevé la jupe et touché les fesses » de Marie Portolano il y a quelques années. Alors, ce mercredi, dans L’Equipe, quelques langues, anonymes, se délient au sujet du sniper star.
Pierre Ménès, son travail remis en question
Certains affirment ainsi que sa proximité avec Yannick Bolloré, censée le protéger de la foudre de Vincent Bolloré, propriétaire de Canal+, est totalement fictive et relève de « la légende urbaine », Pierre Ménès ne serait en aucun cas un chouchou du président du conseil de surveillance de Vivendi. Mais c’est surtout le travail du consultant qui est attaqué frontalement. « Depuis son retour de maladie, les langues se sont déliées. « Pierre dit n’importe quoi... » « Mais il regarde les matches ou quoi ? » Si son retour, en avril 2017, a été salué par une émission spéciale du CFC où il n’a cessé de remercier la chaîne pour son soutien, si, à la rentrée suivante, il a eu droit à sa propre émission 19 h 30 PM , ils sont nombreux à le trouver moins pertinent et plus mordant, mais pas vraiment à bon escient », explique Frédérique Galametz, rédactrice en chef du quotidien sportif qui était apparue dans le documentaire de Marie Portolano . Et chacun de se souvenir de ce fameux soir de 2018 après un match entre Toulouse et l’OM où Pierre Ménès avait mis Ibrahim Sangaré dans ses flops, alors que le joueur toulousain n’avait pas joué. A l’époque, tout le monde avait rigolé, et le CFC avait même diffusé la séquence via les réseaux sociaux. Trois ans plus tard, cela revient comme un boomerang…