Après les propos qu'il avait lancés à l'encontre de Zinedine Zidane, en qualifiant l'ancien numéro 10 de l'équipe de France de « pute » et d'homme « con comme une bite » dans le magazine Sportmag, Christophe Alévêque comparaîtra le 2 février 2012 devant le tribunal correctionnel de Paris pour " diffamation et injures ". Même si l'humoriste avait essayé de calmer le jeu en regrettant l'emploi de certains termes et en se défendant grâce au fait qu'il n'avait fait « qu'user d'une liberté de ton et d'un droit à l'insolence propre à tout humoriste et nécessaire au débat public », Zizou a tenu parole en portant plainte contre des propos portant « atteinte à son honneur, sa dignité, sa probité, sa réputation d'homme et de personne publique ainsi qu'à ceux de sa famille ».
Pour rappel, Christophe Alévêque avait critiqué le champion du monde 98 par rapport à ses nombreuses apparitions dans des campagnes publicitaires, estimant qu'il n'avait rien d'une icône après les supposés 11 millions d'euros qu'il avait touchés suite au soutien de la candidature du Qatar pour l'organisation de la coupe du monde 2022.