Agressée au retour d'une soirée passée avec ses coéquipières du PSG, Kheira Hamraoui découvre depuis plusieurs jours qu'elle était clairement ciblée. Dans ce dossier, le rôle de César M a été évoqué, mais ce dernier s'est défendu lors de « Touche pas à mon poste ».
Le football français vit des heures sombres, alors que sportivement il n’y a aucune raison pour cela. Mais différentes affaires ont démontré que dans les coulisses du ballon rond, cela n’allait pas bien. Entre les scandales au sein de la Fédération Française de Football, les révélations sur l’affaire Pogba et l’affaire Kheira Hamraoui-Aminata Diallo, le haut de cœur n’est pas loin pour ceux qui aiment le football. Mais dans ces feuilletons, on découvre chaque jour de nouveaux personnages, lesquels utilisent tous les moyens pour communiquer. Vendredi soir, c’est chez Cyril Hanouna que l’on a découvert qui était César M., mystérieux interlocuteur d’Aminata Diallo, dont il est le conseiller, cité dans les extraits d’écoutes téléphoniques dans lesquelles la joueuse du PSG confie sa haine de Kheira Hamraoui. Lors de « Touche pas à mon poste », César M. qui est aussi le compagnon de Kadidiatou Diani, autre joueuse du Paris Saint-Germain, s’est défendu d’avoir eu un rôle dans l’agression de la seule victime, Kheira Hamraoui.
Diallo est innocente, son conseiller en est certain à 100%
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Sous le contrôle de son avocat, présent aussi dans l’émission de Cyril Hanouna, César M. a d’abord fait savoir qu’il allait porter plainte contre Le Parisien et Le Point, qui ont révélé les extraits d’écoutes téléphoniques, avant d’avancer ses arguments. « Je conseille des joueuses au sein du Paris Saint-Germain, en France et à l'étranger, je ne suis pas agent officieux (…) Je n’ai strictement rien à voir, ni de près, ni de loin dans cette histoire. Je suis persuadée qu'Aminata est innocente, j'ai zéro doute, a confié César M, qui a également nié avoir fait fuiter des infos sur Didier Ollé-Nicolle. J'entends des rumeurs sur une main baladeuse sur une jeune joueuse de la part d'un entraîneur du PSG. J'ai un rendez-vous dans le cadre de la prolongation de contrat de Marie-Antoinette Katoto, avec Monsieur Ulrich Ramé, le directeur sportif à l'époque, et Grégory Durand, le responsable juridique du club. À aucun moment, je n'ai eu des propos menaçants, j'ai juste relaté des faits que nous avons entendus. »