Selon un média américain, le propriétaire de Chelsea, proche de Vladimir Poutine, aurait fait l'objet d'une tentative d'empoisonnement lors de récentes négociations pour la paix entre l'Ukraine et la Russie.
Depuis le début de l’envahissement de l’Ukraine par la Russie, les informations se multiplient sans que l’on sache toujours qui dit vrai ou qui dit faux. Dans cette guerre, les fake news sont légions, chaque camp, notamment les Russes et les Américains, accusant l’autre de faire sortir des informations erronées pour arranger ses affaires. Ce lundi, c’est le Walt Street Journal, que l’on ne peut pas soupçonner d’être proche de Vladimir Poutine, qui explique que lors de récentes discussions pour négocier une paix entre les deux pays, les représentants ukrainiens auraient ressenti des soucis physiques, au point même d’évoquer la possibilité d’un empoisonnement. De même, Roman Abramovitch, qui œuvre aux négociations, aurait lui aussi eu des soucis de santé suite à ces réunions qui se déroulaient à Kiev.
Abramovitch proche de Poutine, mais empoisonné quand même ?
Scoop: Abramovich suffered suspected poisoning along with Ukraine peace negotiators earlier this month. Full Story on @WSJ shortly
— Max Colchester (@MaximColch) March 28, 2022
Selon le média américain, le propriétaire de Chelsea et deux membres de la délégation ukrainienne auraient eu des soucis de peau au visage et sur les mains, ainsi que les yeux rouges et des douleurs constantes. Pour le Wall Street Journal, il est envisagé par le camp ukrainien que Vladimir Poutine ait ainsi tenté de faire échouer un éventuel accord, et cela même si Abramovitch est considéré comme un de ses proches, ce qui lui a ainsi valu de se faire blacklister par l’Union Européenne et l’Angleterre, le milliardaire russe voyant ses biens, dont le club de Chelsea, être saisis. Pour l'instant, aucune confirmation officielle n'est venue de la part de l'Ukraine ou de Roman Abramovitch suite à ces révélations.