Définitivement transféré à Besiktas cet été, Valentin Rosier rêve de porter un jour le maillot de l’équipe de France. Pour y parvenir, le latéral droit passé par Dijon ne ferme pas la porte à un retour en Ligue 1, surtout si Lyon ou Marseille lui en offrait l’opportunité.
Plus de trois ans après son départ de Dijon, Valentin Rosier ne regrette pas sa décision. Son passage au Sporting Portugal n’a pas été une grande réussite. Mais le latéral droit semble totalement épanoui depuis son arrivée à Besiktas, d’abord dans le cadre d’un prêt, avant son transfert définitif cet été. Il n’empêche qu’un retour en Ligue 1 ne serait pas pour lui déplaire, le Français ayant un faible pour les Olympiques.
L'appel du pied de Rosier
« Revenir jouer en Ligue 1 ? Je ne sais pas, je n’y ai pas pensé, a répondu le Français à Foot Mercato. (…) Je n’ai pas forcément d’équipe favorite en France. Mais j’aime bien l’Olympique Lyonnais, l’Olympique de Marseille, même si ce sont deux clubs rivaux. J’aime aussi le Paris Saint-Germain, mais là, ils sont dans une autre planète. Donc pas de préférence, mais ça pourrait être ces deux-là (OL et OM, ndlr). » Car sous ces maillots, Valentin Rosier bénéficierait d’une bien meilleure exposition en vue d’une convocation en équipe de France.
Son parcours, ses ambitions en club et en sélection et son rapport au football : le défenseur du Besiktas Valentin Rosier s'est livré à @footmercato ! https://t.co/ksMZTWQR8v
— Аnas Bakhkhar (@AnasB2khr) November 2, 2022
« Si j'ai une chance d’y jouer un jour ? Je ne sais pas, je ne lis pas l’avenir. Ce qui est sûr, c’est que ça reste dans un coin de ma tête bien entendu, c’est un rêve d’enfant, a confié l’ex-Bleuet. Mon premier était de devenir footballeur professionnel, mon deuxième est de représenter la France et de porter le maillot bleu avec les A. Forcément, j’y pense, mais pour le moment, je dois travailler et montrer ce que je vaux sur le terrain et j’espère qu’un jour, ça viendra. Je mentirais si je disais que ce n’était pas mon rêve, j’ai encore plein de choses à prouver et j'espère que ça paiera à l’avenir. » A 26 ans, Valentin Rosier a encore le droit de rêver.