Indice UEFA ‍: La Ligue 1 peut remercier l'OL

Indice UEFA : La Ligue 1 peut remercier l'OL

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Déjà assurée de conserver sa cinquième place au classement UEFA après les résultats définitifs des huitièmes de finale de la Ligue des champions, la France a désormais l’occasion de creuser l’écart sur ses deux concurrents directs.

Mercredi 12 mars au soir, le Paris Saint-Germain sortait Liverpool de la Ligue des champions, tandis que le Feyenoord et le PSV Eindhoven ne parvenaient pas à se hisser vers les quarts de finale. Un état de fait qui venait alors assurer définitivement la cinquième place de la France au classement UEFA. Dans ce contexte, la Ligue 1 conserve ainsi quatre clubs en Ligue des champions pour la saison prochaine, et même pour l’exercice 2026-2027. Une nouvelle plus qu’importante pour le football français, lequel n’est pas au mieux de sa forme économiquement. Toutefois, cette bonne nouvelle ne vient pas seule. Le PSG et l’OL, tous deux encore engagés dans leur compétition respective, ont l’occasion de creuser l’écart entre la France, les Pays-Bas et le Portugal.

La France derrière l'OL et le PSG

S’il n’est pas encore question de se demander si la France a une chance de regarder ses adversaires au-dessus, on peut déjà affirmer qu’elle peut creuser l’écart avec ses deux concurrents habituels à la cinquième place : les Pays-Bas et le Portugal. Comme l’indique L’Equipe, les éliminations de l’AZ Alkmaar et de l’Ajax Amsterdam en Ligue Europa, qui induisent qu’il n’y a plus aucun club néerlandais encore impliqué en Coupe d’Europe cette saison, donnent l'occasion à la France d’augmenter considérablement son avance en vue des prochains exercices. Dans une double confrontation franco-anglaise entre le Paris Saint-Germain et Aston Villa et entre l’Olympique Lyonnais et Manchester United, les clubs de Ligue 1 peuvent frapper un grand coup au classement UEFA. Reste à savoir si ces deux rencontres auront une issue positive pour les Français. En attendant, il reste des points à aller chercher, là où les Pays-Bas et le Portugal n’y peuvent plus rien.