Même si les autorités français ont nié avoir l'intention de jumeler la candidature tricolore à l'organisation de l'Euro 2016 à celle de l'Italie, de l'autre côté des Alpes, on est loin d'avoir dit non à cette solution.
« Rien n'empêche d'envisager un peu plus tard une candidature commune pour l'Euro 2016. Si ensuite, il s'agit de le faire avec la France, il s'agira d'un pays ami et limitrophe. Si toutefois cela n'était pas techniquement ou politiquement possible, on jouera notre carte », a prévenu le président de la fédération italienne dans les médias transalpins.