Le défenseur central a vu son domicile être cambriolé alors que ses enfants étaient sur place la semaine dernière. Il devrait faire plus attention à ses publications, le sermonne un journaliste.
La semaine dernière, pendant que Sergio Ramos évoluait avec le FC Séville contre Lens en Ligue des Champions, le domicile du défenseur central légendaire de la Roja était cambriolé par plusieurs malfaiteurs. Sergio Ramos habite une grande demeure de la région andalouse avec plusieurs dépendances, pour une propriété de 44 hectares où se trouvent notamment ses voitures, le siège de son entreprise, et son cheval très prisé Yucatan de Ramos. Si ses quatre enfants étaient en effet sur place, ce n’est pas le même bâtiment qui a été visité par les voleurs. Ces derniers se sont emparés de bijoux, vêtements et d’argent liquide, pour une valeur de 11.000 euros environ. La police a ouvert une enquête, même si le principal est que la famille de l’ancien joueur du PSG aille bien, puisqu’aucune personne présente dans la demeure familiale ne s’est rendue compte de rien. Néanmoins, la façon dont les cambrioleurs ont réussi à déjouer les caméras de sécurité et à s’introduire facilement a interpellé les enquêteurs. Mais pas Manuel Marlasca, journaliste pour Telecinco, et qui a sermonné le défenseur central.
Roban en la finca de Sergio Ramos en Sevilla durante un partido y con sus hijos dentro https://t.co/9VxKyb3Vpx a través de @abcdesevilla
— Angel Jiménez (@AngelJJ1954) September 27, 2023
« Vous n’avez qu’à donner aux voleurs les clés de la maison pendant que vous y êtes. Le nombre de photos et de vidéos publiés sur les réseaux sociaux, donnent de nombreuses indications. On voit les parties vulnérables pour pénétrer, l’emplacement des caméras, les accès, les pièces où sont entreposés les trophées ou les choses de valeur. Toutes les parties vulnérables sont exposées et les spécialistes s’en servent malheureusement », a souligné le journaliste, alors que Sergio Ramos publie en effet parfois des images et des vidéos de son domicile, ses écuries ou ses caves à vin à travers ses publications sur les réseaux sociaux.