Très convoité après ses bonnes performances à l’Euro 2024, l'international espagnol Nico Williams devrait rester à l’Athletic Bilbao. C’est du moins l’interprétation la plus logique suite à la vidéo publiée par le club basque. Des images qui provoquent la colère du FC Barcelone, son principal courtisan.
Le FC Barcelone ne lâche pas l’affaire. Malgré l’arrivée imminente de Dani Olmo (RB Leipzig), qui devrait faire l’objet d’un transfert à 55 millions d’euros (plus 7 millions d’euros en bonus), le vice-champion d’Espagne a toujours l’intention de recruter Nico Williams. Le Barça s’estime en capacité de payer sa clause libératoire à 58 millions d’euros. Mais à l’heure actuelle, ça semble mal embarqué pour les Blaugrana.
👋🏿 Ongi etorri etxera, @willliamsssnico‼️
— Athletic Club (@AthleticClub) August 6, 2024
Nico Williams ya está en Lezama ❤️#AthleticClub 🦁 pic.twitter.com/jkljokSq86
Plusieurs sources indiquent que l’ailier de 22 ans a choisi de rester à l’Athletic Bilbao. Une tendance confirmée par l’international espagnol dans une vidéo publiée par le club basque. « Je suis de retour, j'attends vraiment cette saison avec impatience. Allez l'Athletic ! », a lâché Nico Williams. La vidéo n’a évidemment pas échappé au Barça. Et selon les informations d’Esport3, le club catalan dénonce une manipulation ! Le cador de Liga estime que sa cible subit d’énormes pressions pour l’éloigner de la Catalogne.
Le Barça mauvais perdant
Au sein du FC Barcelone, on pense que Bilbao a contraint son ailier à réaliser cette vidéo. Il se murmure également qu’Iñaki Williams incite son frère et coéquipier à rester la saison prochaine, durant laquelle la formation basque pourrait disputer une finale de Liga Europa à San Mamés. Quoi qu’il en soit, l’Athletic Bilbao ne transgresse aucun règlement. Le Barça a peut-être du mal à encaisser la défaite qui se profile sur un dossier qui semblait bien parti il y a encore quelques semaines. Rappelons que le Paris Saint-Germain a aussi été recalé par Nico Williams malgré une offre salariale à 10 millions d’euros par an, soit le double de ses revenus actuels.