Etincelant pour sa première saison au Real Madrid, Jude Bellingham impressionne Arsène Wenger. L’ancien manager emblématique d’Arsenal voit en lui une future légende de la Maison Blanche destinée à surpasser le Français Zinedine Zidane.
Si le Real Madrid a encore fait la différence dans le money-time, cette fois, Jude Bellingham n’a pas été décisif. Mercredi soir, lors de la demi-finale retour de la Ligue des Champions contre le Bayern Munich (2-1), les héros merengue se nommaient plutôt Vinicius Junior et surtout Joselu, le double buteur du soir. Quoi qu’il en soit, l’international anglais restera l’un des grands artisans de la belle saison madrilène. Le milieu offensif arrivé l’été dernier s’est immédiatement adapté à sa nouvelle équipe, au point de devenir l’un des piliers de l’entraîneur Carlo Ancelotti.
🔴 Si le Real Madrid remporte la Ligue des Champions, il devra verser 25M€ à Dortmund ! 💰
— Vibes Foot (@VibesFoot) May 9, 2024
Cela correspondant à une partie des bonus négociés lors du transfert de Jude Bellingham. 🤑 pic.twitter.com/YHxeDsaYLH
L’ancien joueur du Borussia Dortmund s’est rendu indispensable de part son efficacité, sa justesse et ses qualités athlétiques mises en avant par Arsène Wenger. Pour l’ancien manager emblématique d’Arsenal, c’est d’ailleurs ce qui le différencie de son idole Zinedine Zidane. « Bellingham est une sorte de mélange entre Zidane et un joueur puissant, a décrit le consultant de beIN Sports. C'est un Zidane avec de la puissance, certainement un peu moins doué sur sa première touche de balle, mais c'est plus un buteur. C'est une sorte de Rolls Royce qui glisse sur le terrain, avec puissance, sans avoir l'air de faire des efforts. »
Bellingham en avance sur Zidane
« Autre chose qui est peut-être une caractéristique du jeu moderne, c'est que Zidane est arrivé au Real Madrid à 29 ans. Lui, à 20 ans. La différence est donc énorme. Zidane avait de l'expérience, il a d'abord joué avec la Juventus Turin. Au même âge que Bellingham, Zidane jouait à Cannes. C'est donc plus rapide aujourd'hui, plus tôt et ce garçon est soumis à une pression énorme à un très jeune âge », a souligné Arsène Wenger, qui annonce donc un avenir encore plus radieux pour Jude Bellingham.