Afin de pouvoir enfin faire enregistrer définitivement le contrat de Dani Olmo, le FC Barcelone a décidé de dénicher l'argent qui lui manquait de manière assez originale. Et le Qatar est dans le coup.
Le temps commençait à presser pour les dirigeants du Barça depuis qu'ils ont appris que le contrat de Dani Olmo ne pouvait être légalement enregistré auprès de la Liga faute d'avoir l'argent nécessaire pour assurer la rémunération du joueur. Si le joueur arrivé de Leipzig l'été dernier a profité d'une dérogation pour pouvoir évoluer jusqu'au 31 décembre, le club catalan n'avait cette fois plus le choix et devait trouver une solution ou bien Olmo aurait été libre de signer où il le souhaitait dès le 1er janvier.
Mais l'imagination barcelonaise a encore une fois permis d'éviter cette catastrophe, et pour cela Joan Laporta a trouvé un accord avec le Qatar. En échange du droit d'exploitation pendant 20 ans de places VIP situées derrière les bancs de touche du Camp Nou, quand il sera rouvert, une société de Doha a accepté de payer une somme comprise entre 100 et 120 millions d'euros, précise la presse sportive espagnole.
Des places VIP vendus sur 20 ans pour garde Dani Olmo
🚨| BREAKING: Barcelona will be able to register Dani Olmo and Pau Victor!
— Absolute30Messi (@Absolute30Messi) December 28, 2024
Joan Laporta has reached an agreement for €120M that allows the registration of both! And Barça FINALLY RETURNS to the 1:1 FFP rule! 🔵🔴🔥✅ pic.twitter.com/OP7pvDGaPP
Cet accord va permettre au FC Barcelone d'avoir les fonds nécessaires afin de permettre à la Liga d'enregistrer le contrat de Dani Olmo, lequel ne sera pas de trop dans l'effectif d'Hansi Flick au moment où le Barça traverse un gros trou d'air en Liga (1 point pris lors des trois derniers matchs). Ce n'est pas la première fois que les dirigeants des blaugranas arrachent des contrats très spécifiques pour traverser des soucis financiers, notamment la vente d'une partie de ses droits TV. Mais tout cela rassure l'instance du football espagnol professionnel, dont le président a pourtant été souvent féroce avec le Qatar, surtout quand il finance le PSG.