Cristiano Ronaldo traité de « ‍d'îcône des slips ‍» par Pascal Praud

Cristiano Ronaldo traité de « d'îcône des slips » par Pascal Praud

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Les propos de Cristiano Ronaldo après le match Real Madrid-Atlético Madrid continuent à faire des vagues, même s'il se dit que CR7 a téléphoné à plusieurs de ses coéquipiers pour mettre les choses au point sur sa déclaration pour le moins mégalomane. Et ce lundi, sur son blog, Pascal Praud règle son compte à la star madrilène d'une manière pour le moins claire et nette....et surtout assez drôle. 

« Jean Boulard n’est pas un homme comme tout le monde. Jean Boulard est beau, riche et célèbre et quand Jean Boulard parle de lui, il le fait forcement à la troisième personne (…) Quelques esprits aigris, raclures d’encrier de la presse écrite ou audiovisuelle, soulignent à tort une hypertrophie de la tête chez Jean Boulard. Cette ignominie parcourt les salles de rédaction parce que les recalés du bonheur, les smicards de la vie, les méchants de profession jalousent les grands, qu’ils soient d’Espagne ou d’ailleurs. Qu’ils sachent, ces clochards, que Jean Boulard les emmerde tous.  Parfois, le mépris de Jean Boulard franchit les portes du vestiaires et ses coéquipiers ne sont pas épargnés : « Pour gagner une compétition importante et longue comme la Liga, et je ne veux pas mépriser les autres joueurs parce que je pense que tous ceux du Real sont bons, c'est compliqué si tu n'as pas les meilleurs. » Comment ne pas être d’accord avec l’icône des slips de bain ? Le Real Madrid a perdu quelques joueurs que les blessures n’ont pas épargnés : Benzema, Pepe, Marcelo, Bale. Si grand que fut Jean Boulard, il ne peut, seul,  renverser des montagnes. A ceux qui s’étonnent devant la psychologie sommaire de Jean Boulard, je les renvoie à son profil de star. On ne devient pas une vedette par hasard. Les normauxpathes roulent en Citroën Picasso, montent leurs meubles Ikea le dimanche et dînent de temps en temps chez leurs beaux-parents. Jean Boulard ne respire que dans les cimes. La mégalomanie constitue l’ADN des étoiles. Sans folie des grandeurs, il n’existe pas de carrière hors-norme. La madone des fixant capillaires n’échappe pas à la règle », balance avec élégance le journaliste d’Itélé et de RTL.