Man City serein avant Paris, son magicien trouvera la formule

Man City serein avant Paris, son magicien trouvera la formule

Battu par Aston Villa (2-1) samedi en Premier League, Manchester City ne parvient pas à sortir de la crise. Les Citizens s’enfoncent au fil des semaines mais restent persuadés que leur manager Pep Guardiola finira par les sauver.

Ça ne s’arrange pas pour Manchester City. Après la défaite contre Aston Villa samedi, le champion d’Angleterre en titre n’a remporté qu’un seul de ses 12 derniers matchs toutes compétitions confondues. Une telle série ne peut que plomber le niveau de confiance d’Erling Haaland et de ses coéquipiers. « Bien sûr, il n'est pas au mieux, a avoué l’attaquant mancunien. On sait à quel point la confiance est importante, on voit que ça affecte n'importe qui. C'est comme ça, on doit continuer et rester positif même si c'est difficile. On doit continuer à travailler dur. »

Haaland mise sur le travail et Guardiola

Et lorsque le Cyborg dit « on », le conseil vaut surtout pour lui-même. Erling Haaland a perdu son efficacité dans la surface adverse et s’estime coupable de la mauvaise période de son équipe. « La première personne que je blême c'est moi-même, a-t-il confié. Je n'ai pas fait les choses suffisamment bien, je ne concrétise pas mes occasions et tout ça. Je dois mieux faire, tout dépend beaucoup de moi et je n'ai pas été assez bon. » En réalité, l’ancien joueur du Borussia Dortmund est loin d’être le seul problème à Manchester City.

Rien ne va plus chez les Skyblues. A tel point que le Paris Saint-Germain, son futur adversaire en Ligue des Champions, peut vraiment envisager une victoire le 22 janvier au Parc des Princes. Bien sûr, Erling Haaland n’y pense pas encore. Son équipe disputera d’autres matchs d’ici là, autant d’occasions pour le manager Pep Guardiola de relancer la machine. « Il a gagné la Premier League six fois en sept ans, donc on n'oubliera jamais ça. Il trouvera les solutions, il les a trouvées chaque saison. On croit toujours en lui. On doit travailler plus dur que jamais maintenant », a conclu le Norvégien.