A la veille du match à Bordeaux, le buteur français de Chelsea est revenu sur sa sulfureuse réputation outre-Manche.
« Le Sulk ». Depuis la fin de son passage à Arsenal, à la fin des années 1990, Nicolas Anelka traîne comme un boulet ce surnom francisé. De retour au premier plan avec Chelsea, l’attaquant français est revenu sur cette réputation de boudeur à la veille du déplacement de Ligue des champions à Bordeaux. « Je ne sais même pas qui et pourquoi on m’a appelé le Sulk. C’est vrai que les gens qui ne me connaissent pas ne savent pas comment je me comporte en dehors du terrain. On a surtout dit que je ne souriais pas beaucoup sur le terrain. Je souris quand il y a une raison de sourire, comme lors d’un but par exemple. Je ne souris pas pour rien, a affirmé l’actuel meilleur buteur de Premier League (13 réalisations) avant de revenir sur sa période chez les Gunners. On dit souvent que j’ai connu ma meilleure période à Arsenal. C’est faux. J’étais dans une très bonne équipe, on a gagné des titres, mais globalement j’étais un meilleur joueur quand j’étais à Bolton ou Manchester City. Ma façon de jouer à Arsenal n’est même pas comparable avec celle d’aujourd’hui. »
