L’Olympique de Marseille et André-Pierre Gignac ont trouvé un accord, mais c’est très loin d’être le cas entre l’OM et le Toulouse Football Club. Et le président du TFC n’est même pas loin de penser que son homologue marseillais ne joue pas franc-jeu lorsqu’il affirme avoir de l’intérêt pour l’attaquant international, lequel pourrait être le dindon de la farce.
« Leur proposition n'est pas cohérente. Les montants ne correspondent pas à la promesse que j'ai faite à Gignac. Sur le premier versement, je devrais même en donner plus de la moitié à Lorient! Et je fais quoi avec le reste ? Ensuite, l'étalement de leur proposition ne respecte pas les codes de sécurité, car il n'y a tout simplement pas de garantie bancaire », constate un brin agacé Olivier Sadran dans les colonnes de la Dépêche. Et le président toulousain de prévenir qu’il avait donné à l’OM jusqu’à dimanche soir pour s’engager, ou non, dans un transfert d’André-Pierre Gignac. Après, la messe sera dite.