A la lutte avec des formations comme l’AS Saint-Etienne et la Fiorentina, Toulouse est quand même parvenu à battre la concurrence pour s’offrir Andy Delort (25 ans).
Contrairement aux autres prétendants de l’attaquant français, le Téfécé à accepté de débourser 6 millions d’euros pour satisfaire les Tigres de Monterrey. Pour le club toulousain, il s’agit tout simplement du plus gros transfert de son histoire, à égalité avec celui d’Emmanuel Rivière en 2011. Autant dire que le président Olivier Sadran a pris un risque, d’où les félicitations de son entraîneur Pascal Dupraz qui ne cache pas sa fierté.
« Toulouse, c’est un bon club. Ce n’est pas d’hier, il prouve par sa longévité, la manière dont il est administré, que ce club est solide. Après, si tu as un peu de "talbin" (d’argent, ndlr), ça va mieux, parce que tu n’achètes pas des joueurs avec des œufs, a lâché le technicien dans des propos relayés par RMC. L’avantage que l’on doit saluer, c’est qu’on a un président actif, qui investit ses deniers. Ça aura un impact sur cette saison, qu’on entend bien finir, et sur les saisons à venir. Il y a peu de clubs en Ligue 1, du standing du TFC, qui se mouillent autant au mercato hivernal. Ça veut dire qu’ici il y a un très bon président. » Un patron qui n’acceptera pas de voir son équipe échouer après un tel investissement...