La trêve internationale a été agitée à Nice puisque le club azuréen a changé de coach, René Marsiglia, qui était l’adjoint d’Eric Roy, succédant à ce dernier. L’AS Saint-Etienne sera donc le premier club à se frotter à ce Gym nouvelle version. Et pour Christophe Galtier, il y a plus à craindre du vrai niveau des joueurs niçois que du fameux effet psychologique pour les Verts.
« On peut s’attendre à tout quand il y a changement de coach. Souvent, les gens pensent qu’il va y avoir un choc psychologique, que les joueurs seront plus motivés. Mais je n’ai jamais vu les Niçois en perdition dans leurs matches. C’est la réussite qui leur a manqué, en particulier contre Sochaux et Marseille. J’ai toujours vu les joueurs se battre, rappelle l’entraîneur de l’ASSE qui avait lui aussi succédé à Alain Perrin, dont il était l’adjoint, à peu près à la même époque en 2009. Ce ne sont pas les mêmes conditions, ils sont moins en difficulté. Mais oui, c’est l’adjoint qui prend la suite. Je ne sais pas s’il y aura un nouveau plan de jeu, mais ce n’est pas en trois ou quatre séances que ça va changer.»